Porchetta italienne en France

Vous souhaitez importer la fameuse porchetta di Ariccia IGP directement d’Italie ?

Porchetta italienne en France ?

Porchetta italienne en France expédiée très fraîche par courrier réfrigéré. Le transit prend trois à quatre jours selon la destination française – Si vous recherchez un fournisseur et fabricant direct avec un atelier de production artisanale en quantités limitées alors vous êtes au bon endroit.

Vous recherchez un produit de qualité à vendre dans votre épicerie fine ou sandwicherie ? Voulez-vous inclure un plat typiquement italien traditionnel dans votre restaurant ?

Porchetta italienne en France – Vous souhaitez importer la fameuse porchetta Ariccia IGP directement d’Italie ?

Vous souhaitez importer la fameuse porchetta di Ariccia IGP directement d’Italie ?

Comment importer la fameuse porchetta IGP directement d’Ariccia en France sur tout le territoire national ?

Porchetta italienne en France – Nous expédions tous nos produits frais d’Italie par courrier réfrigéré STEF et sommes prêts à vous accompagner dans les processus d’importation et de vente grâce à un conseil dédié. En ces deux courtes étapes, vous pouvez également importer de petites quantités de porchetta IGP avec des frais d’expédition relativement faibles.
Grâce au fait que les produits sont expédiés sous vide, ils auront une durée de vie au réfrigérateur d’environ 60 jours.
Porchetta IGP en France
Porchetta IGP en France

Vous vous demandez peut-être : ok, je veux importer directement, mais combien ça me coûte ?

A titre indicatif, un envoi réfrigéré d’environ 250 kg de porchetta coûte environ 300 euros, sur palette et entièrement emballé sous vide et dans un carton spécialLes taxes TVA seront payées dans votre pays de destination, la France, grâce au formulaire Intrastat. Le prix de la Porchetta di Ariccia IGP est très compétitif étant donné qu’elle est produite exclusivement avec des viandes de la plus haute qualité.

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PORCHETTA D’ARICCIA, CULTURE ET HISTOIRE

Les Cerealia  étaient une fête romaine, célébrée le 12 avril et suivie de jeux jusqu’au 19 avril, et dédiée à  Cérès . Le rite était divisé en deux parties : la première,  petits mystères , était une sorte de purification qui avait lieu au printemps, la seconde,  grands mystères , était un moment consécratoire et se déroulait en automne. La cérémonie était destinée à représenter le repos et le réveil éternel de la vie rurale.

Mais à Ariccia, l’élevage porcin était probablement aussi important, bien que limité à la pratique du sacrifice. L’animal sacrificiel de Déméter, divinité assimilée à Cérès,  *ker  et signifie « celle qui a en elle le principe de croissance » et présente à Ariccia dans le petit temple de Casaletto depuis le IVe siècle. BC, avec elle la petite cochonne laitière nécessaire pour participer aux  rituels et aux mystères.

La FETE DU PORC

Notes sur l’histoire de la porchetta : La cérémonie des Cerealia impliquait le souvenir du mythe de Cérès et Proserpine : la recherche de la mère par sa fille était représentée par l’errance des fidèles dans la ville, vêtus strictement de blanc et tenant une torche. au centre du calendrier festif romain de mi-avril à début juin. Le 9 juin, lors de la préparation de la salsa mola, une focaccia d’épeautre salée en surface, a été préparée. Sa préparation, exclusivement confiée aux Vestales, suivait un rituel particulièrement rigoureux.

L’épeautre devait être récolté, un jour sur deux, entre les Nones et les Ides de Maius (du 7 au 15 mai), mois sacré de la déesse Maia, protectrice des récoltes et de la végétation. La récolte était apportée à la Maison des Vestales, qui décortiquait les épis, grillait les grains et les moulait finement. Nous tenons à souligner que la porchetta n’est pas un produit exquisément romain , du centre de l’Italie ou du haut Latium , mais que sur le territoire italien, il existe de nombreuses zones de production qui revendiquent sa paternité , allant du sud de la Toscane à l’Émilie- Romagne et Bologne où un somptueux La « fête du porc » a lieu depuis le XVIIe siècle , arrivant à Campli dans la province de Teramo ou en Ombrie dans la célèbre Norcia, patrie du « NORCINO », figure qui est en quelque sorte un précurseur du « porcchettaro » d’aujourd’hui. Les ingrédients de la porchetta proprement dite dans le passé, en plus des ingrédients canoniques, comprenaient également du fenouil sauvage connu à Rome sous le nom de « finocchiella ».